La prévoyance complémentaire des PADHUE :
Nécessaire, elle doit être adaptée à la variété des statuts
Dans la pratique quotidienne, aux yeux des malades ou des chefs de service, les compétences effectives constatées sont au moins aussi importantes que la provenance du diplôme d’origine. Etant moi-même, en activité, je perçois tous les jours cette réalité.
A vos différents statuts, correspondent une réglementation et une protection sociale hospitalière différente qui rendent complexe la vision par le praticien de ses droits individuels.
Des décrets récents ou en attente tendent à homogénéiser peu à peu certains de ces statuts mais la route sera probablement encore longue avant d’atteindre une simplification et une adaptation effective à la réalité du terrain.
L’AGMF, Association générale des médecins de France, dont une partie des administrateurs est, comme moi-même, praticien hospitalier, a, depuis longtemps, manifesté le souci de prendre en compte cette variété de statuts et de proposer des garanties spécialement adaptées.
Pour cela, notre mutuelle s’est résolument tournée vers une politique active de partenariat avec les représentants des praticiens.
En effet, qui, mieux que les praticiens eux-mêmes et leurs représentants peuvent nous faire part de ce que sont précisément leurs besoins, compte tenu de leur spécialité ou de leur statut ?
C’est pourquoi, dès la création du SNPAC, l’AGMF a répondu présent ; ce sont les mêmes raisons qui la conduisent à souhaiter poursuivre et développer avec la FPS, le partenariat précédemment engagé.
Ce partenariat a, jusqu’à maintenant, été fructueux puisque nous proposons à la très grande majorité des statuts existants (PH, PAC, Praticiens contractuels ou nommés à titre provisoire, Assistants et assistants associés, Chefs de clinique associés, Professeurs et Maîtres de conférences associés) des contrats complémentaires frais médicaux ou prévoyance.
Ces
derniers contrats garantissent, en cas d’arrêt maladie, 80% à 100% (selon
l’option choisie) des émoluments nets
des charges sociales, indemnités de gardes et astreintes comprises dès que l’hôpital cesse de verser la totalité des émoluments.
Un capital décès, permettant de préserver sa famille d’un coup dur, vient compléter cette garantie.
D’autres évolutions sont souhaitées par votre fédération, c’est la logique d’un partenariat dynamique auquel l’AGMF continuera d’essayer de répondre au mieux.
L’objectif de notre mutuelle est, depuis toujours le même : agir au mieux des intérêt des praticiens de santé dans un esprit de solidarité. En cela notre objectif me paraît commun avec celui de votre fédération.
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Docteur
Bruno GAUDEAU
Président
de l'AGMF/GPM